Travaux  réalisé par l'APV

Construction  d'une table d'orientation.

Début des travaux le 29 juillet  pour se terminer début septembre 2016.

Sur la photo de gauche a droite

F COUSTOUZY-R DEJEAN-C BARON-L FROUVELLE


 

 

Août 2020 mise en place d'une table avec des bancs pour profiter du paysage de Venerque et des environs


LE TROU DE LA MITRAILLEUSE

Mise en oeuvre par Claude BARON-Roger DEJEAN.
Ici en 1944, l'occupant « SS » avait installé une mitrailleuse type
Maschinengewehr 42 communément désignée MG 42. Cette machine a tuer
tirait à jusqu'à 1000 mètres, des munitions de 7,92 mm, à la cadence de 1200
coups minutes.

De cet emplacement le tireur disposait d'un angle de tir compris entre « Lou Saut » et l'ensemble du pont sur l'Ariège.
Les pentes du « Pech », alors cultivées, constituaient un point d'observation dépourvu de tout obstacle.
Travaux en septembre 2022


Mise en valeur de l'ancienne écluse au lieu dit le moulin

Photographie de l'écluse au lieu dit le moulin

 

  • L’écluse

    Louis XVIII autorise la construction du Moulin le 20 janvier 1821. L’autorisation de la prise d’eau n’arrive que le 30 août 1829

    Cette écluse servait à amener l’eau de l’Ariège au moulin.

    À cause des risques d’inondations, le moulin ne fut pas construit à proximité de l’Ariège, mais sur le ramier entre les deux rivières (l’Ariège et la Hyse).

    L’idée retenue était d’alimenter le moulin avec les eaux de l’ Ariège et ensuite de les évacuer vers la Hyse.

    Il fut construit donc deux canaux : un premier entre l’Ariège et le moulin ; un second entre le moulin et la Hyse. Mais cela s’avéra bien compliqué à cause du faible dénivelé entre le moulin et les deux rivières ; notamment quand le niveau des eaux était très bas (à cause du peu de pente, le débit était insuffisant). Le problème se posait aussi lors des crues


. Le moulin

Dans les premières années du mandat de maire de M.Ginesty , une demande  avait été adressée au Roi Louis XVIII par un particulier désirant obtenir l’autorisation de construire un moulin à farine dans les ramiers de l’Ariège et de la Hyse.

La présence  d’un moulin sur la commune était une aubaine à cette époque où beaucoup fabriquait  encore leur pain et la municipalité avait soutenu le projet .

Une ordonnance royale du 20 janvier 1821 le rendit effectif et les travaux commencèrent dès le printemps. Mais par défaut de calcul du dénivellement, le projet dut être modifié dès sa mise en chantier et le déversement du canal dans la Hyse  porté bien plus loin qu’il n’avait été prévu sur le plan .

Les fonds qui furent employés pour allonger ce canal manquèrent pour construire le pont qui devait enjamber celui-ci pour laisser passer ceux qui empruntaient le chemin du port de Venerque. Cette route ne pouvant être coupée un pont provisoire en bois fut mis en place  en attendant les fonds pour le pont bâti .

La crue de 1875 provoqua de gros dégâts au moulin et mis fin au fonction du moulin.

Il fut plus tard utilisé par la ville comme usine productrice de courant électrique,

Venerque put ainsi profiter du courant, ceci avant l'arrivée des lignes de la pyrénéenne.

En suivant le canal , vers l'Ariège l'on arrive a la première écluse aux trois quart envasée à la base: c'était là l'écluse qui réglait l'arrivée de l'eau de l'Ariège dans le canal. 

En descendant le long du canal vers la Hyse, on aperçoit les ruines d'une seconde écluses, contre la maison du moulin.  

(source : Mr Tufféry)


A VENIR

Rénovation de trois plaques de cocher

Plaque de cocher ?

Désigne les plaques et par extension les poteaux avec plaques, directionnels, apposés au bord des voies de communication à partir de 1835, date de la circulaire génératrice de cette signalisation.

Jusqu’en 1845 les plaques en fonte peinte, les plaques en bois peints, les poteaux en pierre avec lettres gravées ou peintes, les enduits de mortier avec lettres peintes, les plaques en tôle avec lettres peintes, étaient les principaux matériaux utilisés, la couleur choisie sera le fond bleu ciel foncé, les lettres en blanc .

A partir de 1845, les plaques en fonte avec lettres en relief font leur apparition.

A partir de 1866 les plaques en zinc laminé. Sans oublier les plaques en lave émaillée.

Les poteaux ont une hauteur en général de 2,50 m, afin de pouvoir être lues par les cochers. Par contre, les plaques étaient apposées en fonction de l'architecture des habitations ou édifices qui les recevaient.

Le texte et les images sont extraits des liens suivants:

HISTOIRE DES PLAQUES DE COCHER – plaquedecocher.fr

Le site ci-dessous vous permet de Visualiser les plaques de cocher sur la Haute Garonne

HAUTE-GARONNE – plaquedecocher.fr

Plaques de cocher  situées a Venerque                                              

 La première plaque au départ de la Grande Rue, à l'angle de la rue Simon de Lancefoc, les deux plaques suivantes se trouvent au croisement d'espeyrouzes